Les données récoltées annoncent que l’assurance vie est irrémédiablement le produit d’épargne le plus prisé par les Français. Ce support a collecté bien plus que 135 milliards d’euros durant cette année. Toutefois, la baisse actuelle des rendements des fonds en euros, pose le problème de la pertinence de diversifier ce produit d’épargne. En effet, les épargnants n’aient pas trop le risque. Pour pouvoir bénéficier de contrats doué d’un certain dynamisme, sans avoir à réaliser un investissement conséquent sur un contrat, il est recommandé d’intégrer des parts de scpi dans l’assurance vie. Une scpi assurance vie possède d’ailleurs, de nombreux intérêts aussi bien au niveau fiscal, économique que patrimonial. Au niveau des flux, on constate que les revenus générés jouissent d’une certaine récurrence et excèdent la plupart du temps, ceux des autres supports d’épargne en euros. La majorité des scpi affiche des rendements allant même dans la barre des 3 à 5 % si celui des fonds en euros, se trouve plutôt dans les 2 à 3 %.
Les principaux atouts d’une scpi assurance vie
Une scpi génère des revenus soumis au régime des revenus fonciers. Ces revenus sont donc imposés comme les revenus en plus des prélèvements sociaux. Cependant, si la scpi est intégrée dans une assurance vie, les revenus générés échapperont aux divers prélèvements ainsi qu’à l’imposition. Cela dure tant que les parts de scpi détenues, n’ont pas été mises en rachat. Que ce rachat soit total ou partiel, la fiscalité des rachats s’applique immédiatement. Quant aux impôts et taxes non déboursés, ils rehaussent les intérêts de l’épargne réalisée.
Et si on se réfère au domaine patrimonial, cette intégration dans une assurance vie, est toujours plus intéressante. Si l’épargnant détenant d’une façon directe des parts de scpi, vient à décéder, ces parts seront soumis aux droits de succession. Ces parts seront assujetties à une taxation du régime de l’assurance vie, qui se révèle bien profitable sous tous les aspects.
Quant aux autres frais générés que ce soit pour l’acquisition que pour maintenir la liquidité, la détention directe se révèle plus chère que l’intégration dans une assurance vie. En effet, il n’y a aucun frais de mutation et la liquidité lors d’un rachat, relève du ressort de l’assureur.